L’Eisam ouvre ses portes au Cameroun

Du nouveau dans l’enseignement supérieur au Cameroun. L’école Internationale des Sciences avancées et du Management (l’Eisam) ouvre officiellement ses portes en septembre 2024. Une université privée qui propose des formations d’excellence en mathématiques, physique, informatique, entre autres.

“C’est la volonté de partager l’expérience que moi j’ai acquise, l’expérience que les cofondateurs de L’Eisam ont acquise en Europe, au Cameroun, au Gabon et de par nos différents voyages à travers le monde.” a affirmé monsieur Nestor Yepmeni, promoteur de l’Eisam.

La cérémonie d’inauguration du campus de Douala le vendredi 17 mai 2024 a été présidée par le Professeur Magloire Ondoua, recteur de l’Université de Douala, représentant personnel du ministre d’Etat, ministre de L’enseignement supérieur, Professeur Jacques Fame Ndongo. Une occasion pour la tutelle de toucher, du doigt le cadre qui va accueillir les futurs ingénieurs et d’en savoir davantage sur les différents programmes innovants de L’Eisam.

“Vous savez, c’est pas tous les jours qu’un institut privé s’engage, prend le courage de faire une formation dès les premières années, à savoir les classes préparatoires et ensuite d’accompagner les étudiants jusqu’à la fin travers des universités ou bien des écoles d’ingénieurs à l’étranger. C’est une grande première.” a déclaré le Professeur Jean Louis Woukeng

En tant que école préparatoire. La singularité de L’Eisam repose sur l’encadrement global de ces étudiants.

“En clair, il est hors de question qu’il y ait de l’échec. C’est à dire? On va amener l’étudiant vers l’excellence sur plusieurs aspects, plusieurs compétences, des compétences académiques, mais aussi ce qu’on appelle des soft skills.” confirme monsieur Mourad Bouneffa, professeur des universités en informatique.

“On cherche que des enseignants qui ont un doctorat avec une certaine compétence et une certaine aisance pédagogique aussi. C’est à dire une expérience, mais aussi un profil bilingue. On cherche aussi des enseignants qui sont capables d’enseigner en français et en anglais. On cherche également des enseignants qui ont un profil international.” a rassuré Nicolas Waldhoff, cofondateur de l’Eisam.

Situé à Makèpè, dans le cinquième arrondissement de la ville de Douala, l’Eisam, c’est deux années de formation diversifiées et complexes. Il est question de préparer les étudiants à entrer dans les 204 écoles d’ingénieurs en France. Les inscriptions pour l’année académique 2024 2025 sont d’ores et déjà ouvertes.